Le 11 juillet 2015, Rennes sera ville départ d'une étape du prochain Tour de France. Un événement « fédérateur et gratuit de dimension internationale », pour Yvon Léziart, conseiller municipal délégué aux sports.
La ville n'avait plus accueilli la Grande Boucle depuis 2006, date de l'arrivée d'un contre-la-montre.
Les amoureux de la petite reine n'ont plus qu'à patienter quelques mois avant d'approcher le maillot jaune.
Samedi 11 juillet 2015, Rennes sera ville départ d'une étape du Tour de France.
« La Bretagne est une terre de cyclisme. La ville est fière d'accueillir un événement sportif populaire, fédérateur et gratuit de dimension internationale », commente Yvon Léziart, conseiller municipal délégué aux sports.
Après le passage de la caravane publicitaire, les cyclistes parcourront 7 à 9 kilomètres à l'intérieur de la ville avant de prendre le départ officiel de l'étape qui les mènera à Mur-de-Bretagne. « Les spectateurs les verront passer à vitesse réduite et pourront les identifier. L'événement retransmis dans le monde valorisera Rennes et ses paysages urbains », précise Tristan Lahais, adjoint délégué à la vie sportive et à la vie associative.
Ville-nomade à accueillir
Le parcours définitif à l'intérieur de la ville reste encore à déterminer. L'installation du village départ et des véhicules qui suivent et retransmettent la course, nécessite la mise à disposition d'un espace important.
Médias, partenaires, organisateurs,... ce sont 4 500 personnes qui travaillent quotidiennement sur le Tour. Autant de retombées économiques pour la ville. L'événement, diffusé dans 190 pays, rassemble 3,5 milliards de téléspectateurs chaque année.
Pour disposer d'une telle vitrine, « le ticket d'entrée pour un départ s'élève à 60 000 euros », poursuit Tristan Lahais. Mais le jeu en vaut la chandelle. « Les retombées économiques ont été mesurées à Grenoble. Pour un euro investi, le passage du Tour a rapporté 1,5 euro. »